Zoom sur Bruno Parmentier

Bruno Parmentier est auteur, conférencier et consultant, spécialisé dans les questions agricoles et alimentaires..

Il est à la fois ingénieur et économiste (École des Mines de Paris et École Pratique des Hautes Études) .

Après une carrière effectuée, en France et au Mexique, pour une bonne part dans la presse (Centre de Formation et de Perfectionnement des Journalistes) et dans l’édition (Éditions La Découverte, Éditions du Cerf, Centre National de Documentation Pédagogique), il a dirigé de 2002 à 2011 l’École Supérieure d’Agricultures d’Angers.

Il est l’auteur de cinq livres :

  • Sur l’agriculture : Nourrir l’humanité, les grands problèmes de l’agriculture mondiale(Editions La Découverte 2007, édition de poche en 2009),
  • Sur l’alimentation : Manger tous et bien (Editions du Seuil 2011)
  • Sur la faim : Faim zéro, en finir avec la faim dans le monde (Editions La Découverte 2014).
  • Sur le réchauffement climatique : Agriculture, alimentation et réchauffement climatique (diffusion libre sur internet, 1ere édition 2015 remise à jour fin 2018)
  • Sur le vieillissement : Bien se loger pour mieux vieillir (Editions ERES 2020)

Il anime le blog : http://nourrir-manger.fr/

Et la chaine You Tube http://nourrir-manger.com/video

Il consacre l’essentiel de son temps à des conférences ou des interventions dans les médias autour de l’agriculture, l’alimentation, la faim et le développement durable.

De plus, il est, entre autres, président du CNAM des Pays-de-la-Loire, de SOLIHA (Solidaires pour l’habitat) du Maine et Loire et du Comité de contrôle de Demain la Terre, et administrateur de la Fondation de l’enfance

Une petite présentation vidéo en moins de 2 minutes :

https://www.youtube.com/watch?v=KLRXk64VLfs

Vous voulez lire le CV de Bruno Parmentier : voir ci-dessous

https://www.scribd.com/document/446764270/CV-Parmentier-2020

5 réponses à Zoom sur Bruno Parmentier

  1. Patience MPANZU BALOMBA dit :

    Cher M. Parmentier,

    Je vous écrit parce que je vient de suivre votre émission sur Radio France Internationale. J’ai bien aimé votre analyse sur la situation de l’agriculture africaine et surtout vos propositions pour s’en sortir. Je sais que vous faites beaucoup des conférences sur l’agriculture mondiale et avait beaucoup écrit la dessus.
    Moi je suis Professeur associé à au département d’économie agricole/Faculté des sciences agronomiques de l’université de Kinshasa. Je suis très intéressé par vos propositions notamment sur les techniques écologiques. Je voudrai savoir, pour nous qui sommes en RDC, s’il y a une distribution de tes livres à Kinshasa par exemple. Aussi, je souhaiterai participer à vos formations ou conférences, particulièrement sur la manière dont l’agriculture africaine peut entamer la transition vers cette nouvelle forme d’agriculture adaptée au contexte local de chaque contrée.

    Salutations cordiales,

  2. JEAN-YVES ABGRALL dit :

    Objet : votre conférence à Quimper du 3 octobre 2019
    Monsieur Parmentier,
    Lors de votre dernière conférence à Quimper à laquelle j’ai assisté, vous avez proposé un certaine nombre de pistes afin de faire évoluer l’agriculture dans les contextes de changement climatique, de réduction des intrants chimiques et de capacité à nourrir les populations.
    Vous y suggériez l’abandon du labour afin de récréer les équilibres biologiques des sols. Ma question concerna la troisième culture mondiale (dans le classement des denrées directement consommables par l’homme) à savoir la pomme de terre. Cette culture récente en Europe a permis très certainement, de réduire les famines dans les siècles passés, mais comment concevez vous sa culture dans les années à venir lorsque vous prônez l’abandon du labour?
    Quelles sont selon vous les solutions alternatives pour cette culture ?

  3. Cohen dit :

    Mr Parmentier dans l’esprit des craintes que vous avez exposés mercredi matin le 2 avril sur France Culture.
    Hier par un décret la Russie a interdit l’exportation jusqu’au 30 juin de matières premières essentielles comme la graines de tournesol, le soja, les farines et bien d’autres, ces exportations sont essentielles pour les besoins de plusieurs pays de la Méditerranée.
    En effet les pays doivent maîtriser plus sagement une certaine suffisance alimentaire.

    • BrunoParmentier dit :

      Bonjour,
      Oui je compte faire un texte aujourd’hui ou demain sur ce problème, qui complètera mon texte un peu « rassurant » sur la situation française. Au niveau mondial les mesures d’embargo sur les exportations sont criminelles.

  4. Philippe dit :

    Peut-être que le labour est adapté à la culture de la pomme de terre mais pas à d\\\’autres types de cultures ?

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