Pour voir le « chat » que j’ai fait ce 25 février sur le site du journal « 20 minutes » :
Voici ma conclusion :
Japprécie que cette crise soit loccasion (sans frais, il ny a pas mort dhomme) que chacun réfléchisse mieux à ce quil mange et au rapport quil souhaite entretenir avec son alimentation.
Quand on achète un produit, on achète «le monde qui va avec» !
Quand on veut une barquette de lasagnes avec de la viande à deux euros, prête en 10 minutes, on achète de lindustrialisation, des appels doffres internationaux et des chaînes alimentaires longues.
De la même manière quand on choisit à la main une par une ses pommes, puis ses prunes, puis même ses cerises, on dit au commerçant et à larboriculteur « je ne veux pas quune seule mouche se soit posée dessus », et donc, fatalement, on achète trois passages supplémentaires de pesticides pour queffectivement il ny ait aucun risque davoir un ver dans sa pomme, une moisissure sur sa prune, ou un prélèvement de pie sur sa cerise…
Et quand on veut du poulet pas cher, il vient forcement du Brésil, près des sources de matières premières (maïs et soja) et où les salaires sont beaucoup moins élevés. On achète donc de la déforestation de lAmazonie et du chômage en France…
L’alimentation est un des rares secteurs où lon peut, malgré tout, avoir une influence sur ce que nous proposent les commerçants et les producteurs . Commençons donc par manger autrement, ce sera déjà ça de fait. Le bio, le local et léquitable, pourquoi pas?
Et exigeons plus de transparence, plus détiquettes, et plus de police alimentaire!
Les gens, les coureurs et les non-coureurs semblables, peuvent prendre beaucoup plus que nous pensons que nous pouvons. Nous pouvons continuer m
Je viens de lire que Goldman Sachs a enregistre un benefice de 2,2 milliards de dollars au premier trimestre, « … grace au dynamisme de son activite de banque d’investissement ainsi que son investissement et l’unite de credit. » Et ils sont de simples pikers par rapport a leurs fr